X’PERT IMPACT : une aventure humaine et rentable selon Arnaud Lecher
Récemment intégré au réseau X’PERT IMPACT, Arnaud Lecher revient sur son parcours de franchisé et explique les raisons qui l’ont amené à rejoindre cette enseigne spécialisée dans la réparation automobile sans peinture.
Asma Louati, writer
Publié le 21/07/2025 , Temps de lecture: 2 min
Un retour d’expérience authentique qui met en lumière les qualités humaines, techniques et économiques du concept.
X’PERT IMPACT : un concept rentable et profondément humain
Interrogé sur les raisons qui l’ont convaincu de rejoindre le réseau, Arnaud Lecher ne cache pas son enthousiasme :
« La raison pour laquelle j’ai rejoint X’PERT IMPACT, c’est la promesse d’être rapidement rentable avec un investissement minime dans un premier temps. » Mais au-delà de l’aspect financier, c’est la dimension humaine du réseau qui a été décisive : « La connexion et les échanges que j’ai eus avec Xavier et IVANE m’ont conforté dans le choix ‘humain’ qu’implique une franchise. »
Un accompagnement constant au sein de la franchise X’PERT IMPACT
Le franchisé souligne également la disponibilité quotidienne de l’accompagnement fourni par l’enseigne. Qu’il s’agisse d’un besoin technique, commercial ou organisationnel, l’équipe est toujours présente :
« L’accompagnement au quotidien est toujours disponible à presque chacun de mes appels, que ce soit au niveau commercial, organisationnel/vision mais surtout au niveau technique. »
Une disponibilité qui rassure et renforce la confiance dans le modèle.
X’PERT IMPACT : des valeurs fortes et un esprit réseau bien ancré
Pour Arnaud Lecher, X’PERT IMPACT se distingue par son énergie et sa capacité d’action : « X’PERT IMPACT est le dynamisme incarné. Ça peut paraître brouillon de temps en temps, mais c’est très souvent efficace. » À ceux qui envisagent de rejoindre la franchise, il adresse un conseil clair :
« Mon conseil à ceux qui souhaitent rejoindre X’PERT IMPACT est de ne venir que s’ils se retrouvent dans les valeurs humaines qu’on peut déceler lors des échanges physiques au centre de formation avec les différents services (commerce, direction et technique). »
Asma Louati, writer









